La lumière éteint les terres
Qui prolongent leur élan
En racines virtuelles.
Tu rêves de ce que tu sais
Tandis que le reflet
Etale sa prose en mystères.
L’eau et la poussière font le lit
De tes instants insaisissables
En seins de devenir.
Le choix ne se pose qu’au temps
Et le temps fait le courant de tes choix
Par tes regards pour espoirs sur ton monde.